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Publications Presse & Édition
" Est-ce le fruit du hasard ? La photographe Pauline Makoveitchoux, installée dans le pays d’Auray (Morbihan), a un nom de famille qui est tel un écho à ses origines ukrainiennes. « Cela signifie cultivateur de pavots », sourit-elle. Elle s’imagine ce que penseraient ses aïeuls lointains, du projet qu’elle porte aujourd’hui : mettre en lumière la force des agricultrices bretonnes.
Une série photographique qui a trouvé son nom : La terre des femmes. « Ce n’est pas un métier, c’est une vie. Elles sont agricultrices, elles sont aussi femmes, mères, parfois mères célibataires. »"
Ouest France, mars 2024
"Artiste et photographe, Pauline Makoveitchoux est spécialisée dans la création de séries photographiques artistiques à dimension féministe.
Elle lance actuellement un nouveau projet qui vise à mettre en lumière les agricultrices. Il s’intitule Terre des femmes. « En les rencontrant, on se rend immédiatement compte que c’est plus qu’un métier, c’est une vie »."
Actu Morbihan, mars 2024
"Comment « penser » l’espace public et en favoriser la fréquentation à travers le prisme de l’égalité des genres ?
La photographe et vidéaste Pauline Makoveitchoux interroge ce sujet à travers une oeuvre photographique forte, à l’image de son engagement féministe. Son exposition donnera à voir dans quatre lieux différents d’Annecy de magnifiques portraits de femmes en noir et blanc pris dans différents lieux de l’espace public, à Annecy, mais aussi dans d’autres villes du monde."
Moka Mag, octobre 2022
"Issue 2 is also a general issue, although many contributions reflect on the damage male supremacy does to women, from femicide to the erasure of our language.
Issue 2 features artwork by Pauline Makoveitchoux"
Pauline Makoveitchoux, copyright: cover photo and two double-page spreads.
Radical Notion, Issue 2, winter 2021
"Elles ont le regard droit et une posture qui ne l'est pas moins sur ces photographies qui les montrent seules ou en groupe, en portrait serré ou en pied. Outre leur attitude entière, elles ont pour point commun d'avoir posé dans un endroit et à un moment où quand on est une femme, on ne fait pas la fière : en pleine rue et le soir ou la nuit, à Paris mais aussi en banlieue."
Le Parisien, 8 mars 2021
"Je prends en photo des femmes dans des postures stables, puissantes, en cassant l’injonction au sourire et les schémas esthétiques pour les représenter telles qu’elles sont, dans leur diversité. Les photos se déroulent dehors en pleine nuit, là où les femmes n’ont pas de légitimité à se trouver, encore moins seules et sans homme."
Vitry-sur-Seine le Mag, Mars 2021
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